Mouhamed Akintola (en blanc à g.) avec à ses côtés les responsables de l'UPR de la 10è circonscription électorale dont Edmond Agoua (en noir), samedi 29 novembre 2025 à Savè
Après la signature des documents de la fusion entre la Renaissance nationale (RN) et l’Union progressiste le Renouveau (UPR), la matérialisation a commencé sur le terrain. Au niveau de la 10ᵉ circonscription électorale, Mouhamed Akintola et ses militants du RN ont été accueillis, samedi 29 novembre 2025 à Savè, dans la famille UPR.
La cérémonie d’accueil a rassemblé responsables locaux, militants et sympathisants, venus accompagner ce tournant politique dans la région. Debout devant la foule, Dr Mouhamed Awali Akintola a rappelé les motivations de sa démarche, évoquant « un moment historique » qui dépasse la simple formalité. « Nous célébrons un moment qui n’est pas seulement protocolaire, mais qui est historique », a-t-il déclaré, soulignant la portée symbolique de ce ralliement collectif.
Il a insisté sur le respect strict de la ligne tracée par la direction du RN, rappelant que leur présence à Savè procède d’« un acte d’exécution directe de l’instruction reçue de notre présidente, Claudine Afiavi Prudencio ». Dans un ton marqué par la loyauté, il a ajouté : « Notre pas vers vous est guidé par le sens de loyauté et de fidélité qui nous est chevillé au corps depuis des années. »
L'accueil réservé par les responsables de l’UPR a été jugé chaleureux par les nouveaux arrivants, encouragés par ce geste politique significatif. Akintola a salué « un accueil fraternel et chaleureux » et perçu dans sa position sur la liste UPR « la preuve éloquente d’une volonté sincère de faire un avec nous ».
Face aux militants du RN désormais intégrés à la structure UPR, il s’est voulu rassurant : « Notre combat n’a jamais changé ! Il continue… mais sous une nouvelle armure. » Il a appelé à l’unité d’action. Dans son adresse finale, il a étendu son appel à l’ensemble des coordinations du pays, invitant à réserver un bon accueil aux autres militants de la RN afin que la fusion soit « un modèle de cohésion et d’efficacité ».
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