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Procès affaire Dangnivo : une nouvelle audience pour clarifier les contradictions dans certaines dépositions

Procès affaire Dangnivo : une nouvelle audience pour clarifier les contradictions dans certaines dépositions

Le tribunal de Cotonou va poursuivre, ce mardi 13 mai 2025, le procès dans l’affaire Dangnivo. Cette audience devrait permettre d’écouter certaines personnes et clarifier des contradictions relevées dans les premières auditions.

Le tribunal de Cotonou va poursuivre, ce mardi 13 mai 2025, le procès dans l’affaire Dangnivo. Cette audience devrait permettre d’écouter certaines personnes et clarifier des contradictions relevées dans les premières auditions.

Poursuite du procès de l’affaire Dangnivo. Les assises criminelles au tribunal de Cotonou vont se poursuivre, mardi 13 mai 2025 avec la reprise de l’audience de l’affaire Dangnivo. Au cours de cette audience, selon les motifs du renvoi du dossier lors de l’audience précédente, plusieurs personnes doivent être écoutées. Certaines, pour la première fois et d’autres pour une deuxième fois afin de dissiper les contradictions relevées dans leurs premières dépositions. 


Le tribunal va écouter notamment quelques membres de la famille du disparu, le personnel de la garde républicaine en poste le jour de la disparition de Urbain Dangnivo et l'ex-Directeur général la police nationale, Louis Philippe Houndégnon. La Cour doit aussi écouter, à nouveau, le médecin légiste, l’expert béninois, le colonel Koumassegbo, Prince Aledji et d'autres témoins.  


A l’audience criminelle du vendredi 25 avril, seule la représentante du réseau mobile MTN a comparu pour commenter les réponses fournies aux réquisitions reçues. Murielle Zinzindohouè était venue commenter les réponses qu'elle a transmises au parquet en ce qui concerne les retours de réquisitions. 


Elle avait indiqué que l’entreprise a transmis deux lettres au ministère public. Selon elle, MTN n'a pas retrouvé dans ses archives les réponses fournies avant 2013 aux réquisitions. Elle a transmis une lettre de 2013 en réponse à une réquisition avec un relevé téléphonique.

 

La représentante du réseau mobile a informé que les réponses aux réquisitions avant 2013 n'ont pas été faites par mail, mais physiquement à qui de droit. Elle aussi révélé qu'elle ne peut pas savoir l'identité de la personne qui a signé la lettre à sa place. Parce qu'elle ne connaît pas les signatures de chaque collègue.

 

 

 

 

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