Romuald Wadagni et Mariam Chabi Talata Zimé (g à d)
Justification et portée de l’investiture du duo candidat Wadagni-Talata prévue ce samedi 4 octobre 2025 à Parakou. Invitée sur la télévision nationale, Annick Djimadja, directrice de la communication de l’Union progressiste Le Renouveau (UPR), a présenté la cérémonie d’investiture comme une exigence statutaire.
« Lorsqu’on désigne les candidats, une fois qu’ils sont désignés, il faut que les partis politiques procèdent à l’investiture de leurs candidats. C’est comme ça dans nos textes », a rappelé Annick Djimadja, directrice de la communication de l’Union progressiste Le Renouveau (UPR).
En dehors de «l’exigence statutaire» à laquelle les partis de la mouvance on voulu répondre, cette investiture représente pour eux «un contrat avec le peuple», avec un duo candidat destiné à incarner l’unité nationale. La responsable de la communication de l’UPR a précisé qu’il s’agit d’un moment symbolique et fort pour la mouvance présidentielle.
Sur le choix de Parakou, la responsable de communication a balayé toute interprétation politique particulière. Elle a expliqué que ça aurait pu être une autre ville ou village du Bénin. «Il n'y a pas d'autre considération à prendre en compte pour le choix de la cité des Koborou, parce que Parakou fait partie du Bénin», a-t-elle renchérit.
Dans la cité des Kobourou, les organisateurs s’attendent à une forte mobilisation. Militants, responsables politiques des partis alliés et population locale sont conviés pour donner un cachet particulier à l’événement. « Depuis que nous avons désigné nos candidats, nous avons mis en place un comité d’organisation qui travaille depuis quelques semaines à offrir les meilleures conditions de réussite », a précisé Annick Djimadja.
Les organisateurs assurent que tout est prêt, des dispositions sécuritaires à la logistique, pour accueillir ce rendez-vous politique.
«Ça va être un moment de délivrance de message fort, de message de rassemblement, de message de consolidation de la paix, de message de renforcement de la démocratie», a assuré la directrice de communication de l’URR qui s’est faite pour l’occasion, le porte voix de tous les partis de la mouvance présidentielle.
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