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Attaque meurtrière à Banikoara : ce qu’il faut retenir du conseil extraordinaire de l’armée béninoise

Attaque meurtrière à Banikoara : ce qu’il faut retenir du conseil extraordinaire de l’armée béninoise

Le général de division Fructueux Gbaguidi, chef d'état-major des Forces armées béninoises (FAB), a tenu, lundi 13 janvier 2025, une réunion extraordinaire à Cotonou suite à l'attaque meurtrière survenue dans le nord du pays.

Le général de division Fructueux Gbaguidi, chef d'état-major des Forces armées béninoises (FAB), a tenu, lundi 13 janvier 2025, une réunion extraordinaire à Cotonou suite à l'attaque meurtrière survenue dans le nord du pays.

Le général de division Fructueux Gbaguidi, chef d'état-major des Forces armées béninoises

Le général de division Fructueux Gbaguidi, chef d'état-major des Forces armées béninoises

Les hauts responsables militaires du Bénin ont tenu une réunion de crise. Présidé par le général de division Fructueux Gbaguidi, chef d'état-major des Forces armées béninoises (FAB), ce conseil extraordinaire s’est tenu, lundi 13 janvier 2025.

 

Il intervient après l’attaque meurtrière du 8 janvier dans la zone frontalière connue sous le nom de « point triple ». Plusieurs dizaines de soldats béninois ont perdu la vie dans cette attaque revendiquée par le JNIM.

 

La réunion a rassemblé autour du chef d'état-major général la hiérarchie militaire. Les patrons de l'armée de terre, de la marine nationale, de la garde nationale ont pris part à cette réunion de crise. La rencontre a duré environ deux heures, rapporte RFI.

 

Elle a permis à l'armée béninoise, notamment à ses chefs, d'analyser des circonstances de l'attaque, la plus meurtrière,  et d'évaluer le dispositif militaire en place. 

 

Les observations des responsables militaires envoyés sur le terrain ont révélé que l'absence de coopération militaire entre le Bénin, le Burkina Faso et le Niger a été une des faiblesses du dispositif mis en place. Ce manque de collaboration est attribué à un climat de méfiance qui persiste entre ces nations, rendant la lutte contre le terrorisme encore plus complexe.

 

10 commentaires

10 commentaires

Boris
il y a 9 mois
@L'amour du benin, Jusqu'à quand un pays compte sur la CEDEAO pour réussir à combattre le terrorisme ??
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L'amour du benin
il y a 9 mois
@Eustache Fakotan BAS, Je pense qu'avec l'état actuel des choses, le Bénin ne peut et ne doit compter sur aucun renseignement des pays de l'aes. Jusque là nous ne parlons pas le même langage. On ne peut compter k sur nous même difficile que cela soit. Nos défense ne doit tenir compte d'aucun partenaire. Si un venait cela sera un bonus. Travaillons à sécuriser notre pays. Mais je pense k les forces en attente de la CEDEAO doivent maintenant prouver leur efficacité dans cette lutte. Je le dis il faut un ratissage de fond si non on donnera raison à ceux d'en face. Cette force est là pour quoi? On doit atteindre 10.000 morts avant de les voir? C'est le moment ou jamais de prouver l'efficacité de la CEDEAO
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L'amour du benin
il y a 9 mois
@Eustache Fakotan BAS, Je pense qu'avec l'état actuel des choses, le Bénin ne peut et ne doit compter sur aucun renseignement des pays de l'aes. Jusque là nous ne parlons pas le même langage. On ne peut compter k sur nous même difficile que cela soit. Nos défense ne doit tenir compte d'aucun partenaire. Si un venait cela sera un bonus. Travaillons à sécuriser notre pays. Mais je pense k les forces en attente de la CEDEAO doivent maintenant prouver leur efficacité dans cette lutte. Je le dis il faut un ratissage de fond si non on donnera raison à ceux d'en face. Cette force est là pour quoi? On doit atteindre 10.000 morts avant de les voir? C'est le moment ou jamais de prouver l'efficacité de la CEDEAO
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