Michel Sodjinou, entrepreneur des pompes funèbres
Au Bénin, Michel Sodjinou fait partie de ceux qui veulent s’investir dans la modernisation des services funéraires. Ce député dont le nom a récemment fait la une des médias dans le dossier de parrainage qui a conduit à l’élimination du duo candidats du principal parti d’opposition est un croque-mort.
En plein travaux d’agrandissement pour lancer son industrie de la mort, l’entrepreneur s’est ouvert à France 24 sur sa reconversion. Autrefois actif dans le secteur de la commercialisation des produits congelés, Michel Sodjinou apprend qu’il a décidé de s’intéresser au secteur des pompes funèbres en raison de la baisse de ses revenus et de son expérience dans la conservation par le froid.
« On ne faisait plus de recette, plus rien n’allait et moi j’ai décidé. Je dis, mais, si je sais conserver déjà la volaille et puis le poisson, pourquoi ne pas aller vers les humains », a-t-il déclaré à nos confrères de France 24.
Le nouvel entrepreneur des services funéraires assure qu’il opère en toute légalité. « Avant de nous engager, on est passé par les services publics compétents en la matière. On a fait une étude d’impact environnemental, on est passé par le ministère de la santé pour le certificat de mise en service, ils sont venus ».
 
                             
                
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